Daran, sur scène, sans musicien. Pour l’accompagner, un écran géant diffusant les images d’un film routard à l’ambiance captivante et une dessinatrice qui, de façon étonnante, va donner vie aux images avec une palette graphique. En solo, guitare, voix, à l’harmonica , Daran nous livre des textes forts sur une musique épurée. Il interprétera les titres de son nouvel album, Le Monde perdu, mais aussi d’anciennes chansons de son répertoire.