De Paris, Londres et Bruxelles, ses trois villes de cœur, GRANDGEORGE a pris le meilleur. L’élégance naturelle de la ville lumière, les fulgurances mélodiques typiquement anglaises, et la simplicité chaleureuse de Bruxelles se retrouvent en effet dans la musique de ce garçon étonnant.
Son parcours est pour le moins atypique : après des études à Centrale, il poursuit une brillante carrière d’ingénieur. Mais, dix ans plus tard, l’appel de la musique le rattrape, plus fort que tout : il décide alors de prendre une année sabbatique pour se consacrer pleinement à cette passion qui le démange...
Dans un premier temps, il s’isole pour écrire et composer ; puis, maquette sous le bras, il s’en va construire une équipe pour enregistrer ses titres. L’année s’écoule, une vingtaine de titres sont enregistrés, et son trio qui tourne dans les bars… et c’est alors que l’histoire prend des allures de conte de fée. Le jour de son retour au travail, un sms fait tout basculer : le titre « So Fine » se fait remarquer, il entame une collaboration avec Mark Plati (David Bowie, The Cure, les Rita Mitsouko, Louise Attaque, Alain Bashung…), il signe chez [PIAS]… L’histoire s’accélère : un premier EP paraît en juillet 2015, emmené par le single « So Fine », prémisse de l’album à paraître en 2016.
Son énergie, il la puise dans l’émotion, les rencontres, les gens, mais aussi les doutes. La seule chose dont il est sûr d’ailleurs, c’est qu’il doute de tout, sauf de son amour immodéré pour la musique. Ses références ? De Mozart à Sting, Paul Simon, Jeff Buckley ou Nina Simone, en passant par Richard Bona, pour ne citer qu’eux : une large palette de couleurs vives, qui l’inspirent et construisent touche par touche son univers personnel et singulier.
Car GRANDGEORGE n’est pas une marque, un produit pensé et travaillé : c’est la sincérité faite homme. Un gars qui assume ses paradoxes : il faut être grand pour avoir en même temps les pieds sur terre et la tête dans les étoiles.
Il s’affirme en tous cas comme un artiste sur lequel il va falloir compter, avec des textes inspirés, des mélodies ciselées et un capital sympathie qui ne manque jamais de surprendre ceux qui le rencontrent pour la première fois.
Et si tout ceci n’était que le tout début d’une très belle histoire ?